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Articles

Affichage des articles du octobre, 2010

Sur le chemin de l'école

Le chemin que je parcours chaque jour pour aller au travail,comme vous pouvez le constater y a pas d'embouteillage!!! Sur le chemin de la vie Gérard Lenorman Sur le chemin de l'école, Nous avions douze ou treize ans, Cheveux blond et têtes folles, Nous parlions comme des grands. Nous avions la tête pleine De jolis projets Moi j'avais pour Madeleine Un tendre secret. Dites-moi ce qui m'entraîne, Dites-moi d'où vient le vent Où s'en vont ceux que l'on aime, Dites-moi ce qui m'attend, Où s'en vont ceux que l'on aime, Dites-moi ce qui m'attend. Sur le chemin de la vie Nous nous sommes séparés, Chacun son jeu, sa partie, J'ai dépensé sans compter Les amis, l'argent, les filles Et puis mes vingt ans, Je n'ai pour toute famille Qu'un petit enfant. Dites-moi ce qui m'entraîne, Dites-moi d'où vient le vent Où s'en vont ceux que l'on aime, Dites-moi ce qui m'attend, Où s'en vont ceux

Apocalypto

je voulais vous parler aujourd'hui d'un superbe film  que j'ai  vu en 2007 pour la première fois .C'est  APOCALYPTO ,  Ce film est magnifique moi qui pourtant n'aime pas les épopées , cette fois j'ai beaucoup aimé et c'est pourquoi je le revois pour la quatrième fois en 3 ans. Apocalypto est un film sorti en Amérique du Nord le 8 décembre 2006, réalisé par Mel Gibson. Le film se déroule en Mésoamérique, dans la péninsule du Yucatán, à la fin de l'époque postclassique, juste avant le premier contact avec les Espagnols. Il raconte l'histoire d'un homme qui lutte pour sa vie et sa liberté durant le déclin de la civilisation maya. Jeune père porteur de grandes espérances, chef de son petit village, Patte de Jaguar vit une existence idyllique brusquement perturbée par une violente invasion. Capturé et emmené lors d'un périlleux voyage à travers la jungle pour être offert en sacrifice aux Dieux de la Cité Maya, il découvre un monde régi

La femme amazigh (bérbère).

La femme amazigh a su a travers l’histoire sauvegarder l’héritage culturel de notre peuple amazigh.Elle était en quelque sorte la garante d’une pérennité des traditions et coutumes de génération en génération. La grande mère était vraisemblablement l’école numéro 1 qu’affrontaient les nouvelles générations. Sa mémoire s’étendait bien à des éphémérides vielles des siècles qu’aux détails d’une vie que menaient imazighen en communauté.Elle animait les longues veillées hivernales aux travers de la narration de contes merveilleux et de légendes devant un auditoire multigénérationnel. Elle participeait activement aux différentes activités agricoles qui rythment la vie villageoise: ramassage de olives, cueillette de figues, entretien des jardins potagers, entretien des animaux de la basse-cour en plus, évidemment, de toutes les taches domestiques; cuisine, lessive et éducation des enfants... Actuellement encore, elle continue à jouer ce rôle dans les compagnes et monts , mais

Manque d'inspiration.

Lors d’une promenade aux alentours  de la ville de Tinghir , j’ai pris ces trois photos.En raison de manque d'inspiration, je  les publie pour  les partager avec vous.La prochaine promenade je photographierai  plus ! comme ça j'aurai de quoi combler le vide dans des situation comme celle-ci..                                                                                                 Bon weekend.